Delavales, Marion. [ Professeur des Aguilis ]

Nom : Delavales
Prénom : Marion
Age : Environ vingt-neuf ans, née le 16 janvier 1970.
Matière souhaitée : Professeur et Directrice des Aguilis

Caractère : Froide, intransigeante, irascible. Un mélange parfait, explosif. Son naturel taciturne, elle ne parle que « lorsqu’il est adéquat de parler», effraie autant les gens que son aspect ténébreux. D'un calme implacable, et d'une méprise sans conteste pour les autres, elle ne s’occupe de sa personne, jugeant les autres trop peu apte à la comprendre. Egocentrique et égoïste, elle ne se fie à personne, n’aiment personne. Elle ne vit que par elle-même, la magie noire et les potions. Elle n’est pas sociable du tout, malgré son intelligence. Même si des fois elle aime voir ses élèves souffrir devant un exercice difficile, elle n'a pas de difficulté à rendre les notions complexes accessibles aux novices. Elle aime lire et écrire, elle se repli souvent sur ses deux « arts »…

Description Physique : Les gens si figent. Ils se figent de terreur à chaque fois qu’ils passent à côté de Marion. Ses cheveux décolorés sont d’un blanc pénétrant et déstabilisent. Sa haute stature n’est pas compensé par son poids : elle est à la limite de l’anorexie, même si elle est toujours en forme, prête à l’action à chaque instant.
Ses cheveux lui tombent sous les épaules et quelques mèches rebellent et plus courte viennent orner le visage triangulaire de Marion.
Ses yeux, nichés dans des globes oculaires profonds, sont tel le jais. Les jeux d’ombres viennent obscurcir le conteur de ses yeux, lui donnant une allure ténébreuse et démoniaque. Son regard : froid et déstabilisant.
Marion a le teint pâle et très blanc. Cette couleur c’est déteint sur ses lèvres qui au lieu de prendre une teinte rouge, ont pris une couleur blanche, tel la neige. Son visage, d’un triangulaire presque parfait, dégagent une sensation de mal-être.
Cette description ne peut finir en disant que Marion est d’une immense beauté. Au contraire, elle est plutôt laide.

Histoire : Tout commença cette fameuse journée. La lune venait de s’effondrer dans les bras de Morphée, afin de laisser l’astre du jour éclairait le monde. C’est à ce moment que Marion Delavales choisit de naître, à la maternité de Strasbourg. Des parents riches, une belle maison près du Rhin, cette enfant avait tout pour réussir et être aimé. Mais ses parents l’aurait parié : Marion était une sorcière. Pourtant, Colette et Henry Delavales étaient des humains comme les autres, « normaux ». C’est ce qui causa sûrement l’indifférence de Colette et surtout d’Henry envers leur fille…

Pour seule amie une poupée délabrée, Marion vivait reclus dans sa chambre, ses parents refusant de la scolariser. Elle développa très vite une imagination débordante. Toute ses journées, elle les passait en scrutant la maison voisine : là bas vivait une jeune fille, similaire à Marion, ci se n’est qu’elle était heureuse… Elle. Marion ne connaissait pas cette fille, seulement son nom : Catherine. Des fois, leurs deux regards se rencontraient. Marion éprouva tout de suite quelque chose de très fort pour Catherine.

C’est ce beau jour de printemps qui permit aux deux fillettes de se rencontrer. La grand-mère de Marion, une vieille sorcière, ridée de telle sorte que l’on confondait sa bouche et les rides alentours. Comme à chaque fois que celle-ci garda sa petite fille, elle s’assoupissait sur le sofa, devant cette « boîte à images curieuse ». Marion, du haut de ses huit ans, en profita pour s’éclipser rapidement. Catherine était dehors, jouant au ballon sur le mur se sa maison. Marion restait longtemps à la regardait, d’un air ahuri. Et puis tout ce passa très vite, Catherine l’invita à jouer, un lien d’amitié se forma, de plus en plus fort chaque jour.

Un an sépara cette rencontre. Comme toute bonne chose avait une fin, Catherine partit. Son père eut dû être muté, il est à l’armée. Tout s’effondra alors pour Marion. Sa seule raison d’être heureuse s’en alla, laissant derrière elle une petite fille, malheureuse, mal-aimée… Un adieu difficile, qui s’était passé à travers la fenêtre de la jeune fille. Sa grand-mère, mise au courant des petits fugues de sa petite fille, ne s’endormit plus, captivée par une boîte à parler, qu’elle nomma : « Parlophone »

Onze ans. Elle venait de fêter son anniversaire en petit comité : sa mère, sa grand-mère. Cette dernière semblait heureuse. Peut-être avait elle enfin réussit son casse tête multicolore… Deux cadeaux sur la table. Le premier était de sa mère, un ruban miteux. Le deuxième, lui était de sa grand-mère. Celle-ci s’excita sur sa chaise, à tel sorte qu’elle faillit tomber au sol. « Ouvre, ouvre vite Marion ! »

Un bout de bois. Aussi grand que son avant-bras. Elle semblait tout aussi déçue que pour le premier cadeau. Sa grand-mère laissait échapper des rires stridents. « Essaie donc ! » Comment ? Allait elle demander… Elle eu vite la réponse. Grand-mère sortit le même bout de bois que celui qui reposait sur la boîte, et, visant une chaise, la fit léviter. Sa grand-mère lui avait beaucoup parlé de magie, mais Marion n’aurait jamais parié que la magie donc lui parlait son aïeux était ce genre de magie !

Elle entra à Beauxbatons, malgré la réticence de sa mère. Membre des Néposs, elle se renferma encore plus sur elle-même, vivant vingt quatre-heures sur vingt quatre reclus sur elle-même, dans la bibliothèque, devant une multitude de grimoires sur la Magie Noire. Elle devint rapidement très forte à ce sujet, s’adonnant en cachette à quelques expériences occultes…

Sa scolarité passa d’un trait, et, son diplôme en poche, se tourna vite vers des études de magie noire, se trouva un appartement miteux et délabré… Elle réussit ses études, obtenant brillamment ses diplômes des potions, de magie noir et de sortilèges… Tout ceci afin de se porter candidate pour un poste, à la célèbre Académie Beauxbatons …

Quelles sont vos motivations? Je ne peux vous cacher que le RPG, j'y suis plongé depuis plus de 3 ans. Je ne peux vous cacher non plus que j'adore le RPG, qu'il soit sur le thème d'Harry Potter, sur le monde médiéval ou sur un autre thème... En ce qui concerne les RPGs basés sur le monde d'Harry Potter, je n'ai pour l'instant interprété majoritairement que des élèves ! Alors je me suis demandé : pourquoi pas interprété un adulte ? Et me voilà ici, postant ma candidature pour un poste d’enseignent ! Je pense être à la hauteur afin d’ « enseigner ». J’aime bien faire cela ! Voilà c’est un peu près tout…

Faire un résumé de vos deux cours.

Ce qui différencie la magie noire des autres formes de magie est l'intention du sorcier qui l'utilise. La plupart des formes de magie sont relativement neutres, elles peuvent être utilisées pour faire le bien comme le mal. Certaines formes, cependant, sont profondément mauvaises dans leur intention. Les sortilèges de cette sorte sont souvent appelés des maléfices. Ce qui revient à dire : Magie Noire. On utilise souvent les maléfices pour faire du mal à une autre personne. On peut utiliser la Magie Noire pour tout chose. Le mal. Mais optionnellement le bien. Toutefois, simplement jeter un maléfice ne signifie pas forcément qu'une personne utilise la magie noire. Tout vient de la personne. Avant donc l’apprentissage de la magie noire, il faut « forger » les personnes qui l’utiliseront. Mais la pratique sera la dernière partie, et une partie très…minime ! Nous nous suffirons de lire et comprendre l’histoire de la magie noire, ses origines … Il arrivera que les élèves arrivent en classe et aient la surprise de voir une évaluation surprise sur ce qui aura été fait en classe auparavant ou sur les lectures qu'il y avait a faire en devoir.

A propos des potions, je ne vais pas très approfondir : nous nous suffirons de reconnaître des plantes, leur effets, à faire la confection de certaines potions. Des lectures seront à faire aussi et des devoirs de compréhension et de préparation devront être faits pour obtenir des points pour les maisons respectives. Tout comme la magie noire, des évaluations seront faîtes souvent…

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