Une rentrée ensoleillée

Il faisait pour cette journée de debut septembre. Un petit peu d'été encore present sur Beauxbatons. Il faisait bon de se promener dans la parc.

Le ciel etait d'un beau bleu, il faisait presque trop chaud.
Une de ses belle journée quifaisait sortir les eleves fraichement arrivée à Beauxbatons. Theo etait de ceux la.

Il se promenait seul, ou il avait croisé un ou deux eleves mais il n'avait aps fait vraiment de connaissance. Juste des sourires et des bonjours, bonsoirs, des signes de politesse, mais pas encore une discussion.

Il regadais les frondaisons c'etait beau, il aimait regarder les arbres par en dessous. On y' voyait tout un tas de choses.

Mais quand on marche la tête en l'air on voit ce qu'il y a en bas....

Et Theo entra de plein fouet dans un petit bosquet.
Il eut tes mal de se prendre le bosquet en peline tête , mais bon cela aurait pu etre pire, il aurait pu tomber. Il sorti de ses reveries aussitôt. Comme quoi l'effet d'un petit buisson peut etre efficace.

Ce face à face avec un bosque etait fort ridicule. Il se retourna pour voir si personne ne l'avait vu.

Circée était assise au pied d’un grand chêne, cachée dans son ombre. La jeune fille ne supportait pas le soleil, et c’est pourquoi elle était venue se réfugier dans le parc. Les yeux mi-clos, presque assoupie, elle profitait agréablement de la fraicheur de l’herbe et du parfum enivrant que lui offrait ce jardin. A vrai dire, elle n’avait pas très bien dormi, ces dernières nuits. Sûrement se couchait-elle trop tard alors qu’elle devait se lever tôt ; mais il lui était extrêmement difficile de s’empêcher de se plonger dans un grimoire passionnant avant de dormir. Elle ferma totalement les yeux ; mais ne trouva pas le sommeil. Finalement, elle sortir sa baguette de son sac et tapota négligemment l’herbe avec. Des petites étincelles rouges jaillirent de la baguette. Au bout d’un moment, un grand garçon passa devant elle. Il ne sembla pas la remarquer, aussi Circée s’en réjouit : il avait l’air niai d’un élève de chez Néposs. Mais lorsqu’il se cogna de plein fouet contre le petit bosquet qui se trouvait devant lui, elle ne put réprimander un éclat de rire, et elle s’entendit prononcer une phrase sur un ton moqueur particulièrement ironique :

« - Pauvre bosquet, il a du avoir mal. »

Un fin sourire se dessina sur ses lèvres. Elle se demanda comment allait réagir le jeune garçon ; mais elle l'avait déjà suivi des yeux et elle savait qu'il avait le visage de quelqu'un d'inoffensif. Elle ne s’arrêta pas de tapoter l’herbe avec sa baguette ; en fixant l’élève et en l’étudiant de bas en haut. Il était assez grand, peut-être aussi grand qu’elle, et il semblait être particulièrement maladroit. Circée se leva et épousseta sa robe avec ses longs doigts fins, bien que ceci ne fût pas nécessaire. Elle s’accouda alors contre le tronc de l’arbre tout en continuant de fixer le jeune sorcier.

Theo vit qu’il n ‘etait pas seul ; et il pestait intérieurement contre lui.

* comment je puis être aussi etourdi que, ca… rrrrr *

Puis il se rendit compte que quelqu'un l'avait vu, Il rougit par honte et aussi de colère contre lui. Il avait entendu la rires moqueur de la jeune fille. On se moquait souvent de ses gaffes, il en avait l’habitude. Quand il était plus jeune cela lui faisait mal et lui déchire le cœur. Mais aujourd’hui il avait appris a vivre avec. Cela ne le lui faisait pas spécialement plaisir. Cela avait un effet assez désastreux éloigne tous les gens qui le côtoyaient. Si bien qu’il se retrouvait seul souvent ; il en était devenu de nature méfiante envers autrui. Il n’avait pas beaucoup d(‘ami mais bon il préférait être seul que de subir les moqueries. Il connaissait les meilleurs parades contre ses moqueries la fuite et l’humour. Certes la il ne pouvait fuir donc il prit la seconde l’humour. Il regarda le jeune fille et dit en haussant les épaules et levant les yeux aux ciel

- Non je crois que le bosquet va s’en sortir sans égratignures
* pas comme moi *

La jeune fille était accoudée contre un tronc et continuait a le fixer. Le regard fixe de cette jeune fille le gênait donc ils e sentit obliger d’ajouter :

- on une belle journée pour la rentrée c’est encore un petit peu l’été ! on a vraiment de la chance …

Circée constata que le jeune homme parut gêné, ce qui la réjouit au plus au point. Aussi haussa-il les épaules (pour exprimer sa gêne ou son incapacité de répondre à sa moquerie ?) et rétorqua avec humour qu’il pensait que le bosquet s’en tirerait bien. Le sourire de Circée se figea quelque peu. Ce jeune garçon était un habitué des moqueries ; apparemment. Elle songea qu’il devait être particulièrement maladroit, et, à l’évidence, il s’était fait mal, contrairement au bosquet. Finalement, elle s’approcha du bosquet et fit mine de s’y intéresser énormément. Avec le plus grand sérieux, elle déclara son ton laissant apparaître une stupeur calculée :

« - Si, je vois que vous avez effrité la peinture. Je pense que je vais le signaler à la direction. »

En effet, la peinture du bosquet était légèrement effrité à un certain endroit, mais Circée savait bien que l’élève n’y était pour rien. Pourtant, elle prenait un malin plaisir à le tourmenter. Il sembla gêné, alors il ajouta, sûrement pour faire baisser la tension, qu’il était réjoui de voir l’été se prolonger. Mademoiselle De Blanchecour le fixa avec dédain. L’Eté ? C’était la saison qu’elle détestait :

« - Je déteste l’été et je déteste la chaleur. Il n’y a que les naïfs auquel on a appris à aimer la canicule, qui d’autre sinon pourrait aimer cette saison ; qui d’autre pourrait apprécier de sentir le soleil brûler la peau ? »

En le provoquant, elle espéra ainsi qu’il réagisse d’une façon un peu plus violente. Ce garçon était vraiment trop calme, trop statique et trop ennuyant. Du moins, pour le moment.

Quand elle inspecta le la peinture du bosquet, Theo revoyait une scène dans sa tete d’un conte de son enfance. Un jardin à la francaise, une histoire de peinture et jeune fille pas si agréable que ç. Il revoyait la scene la reine de cœur arrivant dans son jardin ou elle obligé ses garder a repeindre tout en rouge. Il eut un fou rire intérieur. Puis il répondit sur la peinture voyant qu’elle cherchait à l’ennuyer et ca commençait a l’agacer un peu. Mais il était un peu déstabilise, pourquoi cette jeune fille venait le reprendre comme ca. D’habitude on moquait simplement de ce qu’il provoquait sans plus.

- oui il en faudra en parler à la direction, je pense qu’ils seront très intéressé par ce problème de peinture

dit il en en faisant un petit signe de haut en bas avec la tête et le regard sur le bosquet

Cette réponse mêlait humour, honte et un zeste d’agacement mais Theo le dit avec assurance car il ne se sentait pas en faute. Puis il s’imagina cette reine de cœur allant chez monsieur le Directeur pour cette peinture effritée.

Il se dit qu’il avait encore gaffé en lui parlant du beau temps, pourtant une phrase si simple et si passe partout. Il rougit légèrement et se mordit la lèvre supérieur.

- oui vous avez le droit de ne pas aimer le soleil .. mais pour moi le soleil ce n’est pas seulement une chose negative

Pour Theo le soleil rimait avec d’abord vacances et grandes balade dans la nature. Mais aussi c’etait la saison des framboises. Il aurait voulut étoffer son argumentaire mais il sentait qu’il ne fallait pas en dire plus, car il s’emmêlerait les pinceaux.

Curieusement, l’élève ne semblait pas troublé par les provocations de Circée. Elle eut l’impression qu’il était songeur, et, à en voir son expression et son regard, elle en déduit qu’il tentait de se rappeler de quelque chose ; qu’il cherchait dans sa mémoire une scène particulière. Calmement, il lui répondit ironiquement qu’il était certain que la direction serait intéressée par ce problème de peinture. Circée en fut étonnée : ce garçon était décidément curieux. Elle ne supportait pas de le voir ainsi ; et c’est pour ça que la jeune fille insista :

« - Oh oui, je le pense aussi. La peinture de ce bosquet a été vernie avec une colle Retour de Flamme, et la moindre petite brèche dans la peinture annule le sortilège. »

Elle ne mentait pas ; du moins, pas sur tout la ligne. S’il est vrai qu’une petite brèche dans la peinture risquait d’annuler le sort, une petite éraflure n’était pas dangereuse du tout. Elle fixa le jeune homme qui semblait être gêné par sa réponse sur le beau temps ; il ouvrit la bouche et commença à expliquer, comme pour se justifier, que le soleil n’est pas toujours désagréable ou négatif. Evidemment, il n'avait pas tort. Mais Circée se contenta de déclarer, assez lentement et d'une voix mielleuse :

« - Peut-être. Et cela n'a aucune importance. Discuter du beau temps avec un être aussi indigne ne m'intéresse pas, j'espère que vous comprendrez ? »

La phrase avait été prononcée avec une douceur qui semblait fausse ; aussi sonna-elle d'une façon extrêmement désagréable. Finalement, suivant son impulsion, Circée avait décidé de couper court la conversation, d'une façon aussi brutale soit-elle. Elle avait beaucoup de mal à supporter ce garçon, et rester plus longtemps avec lui ne risquait pas de lui apporter grand chose.

Elle commencait a lui échauffer les oreilles avec histoire du bosquet. Mais bon il préférait ne plus parler de ce bosquet. Puis quand elle ajouta de sa voix mielleuse qu’il etait indigne de lui adresser la parole. Ses joue rougir, non par honte mais il était vexé. Il baissa la tête comme signe de soumission. La colère lui montait doucement mais il se retenait. Mais la colère par cette jeune fille si désagréable.
Avec un regard ferme et menaçant

- je vous ….

Mais une douleur intense apaprut dans sa tête. Si intense qu’il ferma les yeux et serra les machoires. C’était Sian une voix intérieure qui intervenait dans ses pensées. Il ne savait pas si c’etait sa conscience ou autre. Mais il cherchait depuis longtemps a savoir qui c’était. Quand Sian intervenait cela lui donnait de des douleurs cérébrales plus ou moins intense.
Sian lui donnait des conseils que Theo ne suivait pas toujours

** Theo non t’enerve c’est tout ce qu’elle cherche … Theo !!!**

* oui mais la elle depasse les bornes, il faut que je …. *

** non !!!! **

Theo regarda de façon sevère Circée et dit d'une voix qui se voulait calme

- puisque je suis indige de vous je n’ai plus rien a vous dire … mais sachez que je suis fière d'indige de vous

** THEO !!!**

Le jeune homme sembla ignorer ses dires au sujet de la peinture du bosquet ; cependant, et ceci était normal, lorsque Circée lui déclara qu’il était indigne d’elle, le rouge lui monta aux joues. A l’évidence, il était vexé. Lorsque celui-ci baissa la tête, la demoiselle ne put s’empêcher de sourire. Elle se sentait tellement soulagée que ses provocations aient portées ses fruits. Ce garçon, sous ses allures sympathiques, lui semblait énervant parce qu’il acceptait l’avis et les insultes des autres sans broncher ; comme si, finalement, les paroles qu’on pouvait prononçait et qui le dénigraient lui importait peu. Et, de voir qu’il était, comme tout être humain, capable de ressentir de la colère la rassura. Il commença sa phrase, comme prêt à l’insulter, lorsque soudainement, il s’arrêta net, ferma les yeux et serra les mâchoires, comme s’il ressentait une intense douleur … Voyant cela, Circée ne se retint pas de rire. Son rire, glacé et agressif, sembla d’autant plus déplacé dans la situation présente qu’il dévoilait largement la condition de la jeune fille en temps qu’un être d’une cruauté incroyable. Au bout d’un moment, le jeune homme ouvrit les yeux et regarda Circée d’un air sévère et déterminé, pour déclarer d’une voix calme qu’il n’avait plus rien à lui dire et qu’il était fier d’être indigne à ses yeux. Entendant ceci, Circée s’arrêta de rire et se contenta de répondre d’un ton méprisant :

« - Les abrutis niaiseux ne s’entendent qu’entre eux ; de ce fait, incapables de tolérer l’évidente supériorité des génies, ils se morfondent dans leur stupidité et sont fiers d’êtres considérés comme des idiots auprès de ceux qui savent.»

Après sa déclaration philosophique, un lourd silence s’installa. Circée savait que le jeune garçon éprouvait encore une immense douleur, mais à vrai dire, elle ne pouvait que s’en réjouir. Qu’on meure ou qu’on souffre sous ses yeux ne lui faisait ni chaud ni froid : le seul être de ce monde qui lui semblait d’une importance notable était elle-même, et elle considérait comme des abrutis ceux qui acceptaient de souffrir pour autrui. Même si l’élève ne semblait pas en état de répondre – elle se demanda même s’il l’avait entendue ? -, Circée attendit à ses côtés dans l’espoir qu’il rétorque quelque chose.

La mal de tête commencait a se calmer mais Sian etait toujours bien la. Et elle n'etait pas pretes de partir. Theo sorti les mains de ses tempes. Et b'avait pas du tout appreecié le rire et le discour de la jeune fille
Theo bouillonait en lui mais une fois de plus Sian sa petite voix le retenait par ses conseils...

** Theo dis toi que seul les gens qui ont peu d'assurance ont besoin de rabaisser les autres, .. si elle etait si haute qu'elle pensait, elle s'abaisserait a de telles paroles **

Les yeux de Theo se fixerent sur la jeune fille. Il voulait lui dire ses quatres verité. Mais Sian ne cesse de lui embrouiller l'esprit avec ses phrases pleine de conseils. Theo n'avait pas toujours envie de suivre ses conseils, et là c'etait le cas. Mais Sian reprit de plus belle en le suppliant presque.

** la meilleur replique c'est l'indifference et le sourire ... Souris et repond pas THEO ... Ecoute moi .... Theo ecoute moi **

Il essayait de sourire mais son regard trahissait sa pensée.

- je ne suis peut être pas un genie. mais je sais reconnaitre la bêtise humaine ...
Car mepriser quelque chose ou quelqu'un, et même mepriser la stupidité est une pensée stupide et ne peut venir d'un genie. Pour être intelligent il faut avoir l'esprit d'ouverture

Il se mordit la levre suprieur ca il n'aimait etre dans cet état là et encore dire des choses comme ca même aux personne qu'il n'appreciait pas. En generale il evitait les personnes qui etait passympathique lui. Il avait acquis la fuite comme première stratégie. Mais la il devait l'affronter.....

** plus calme Theo quand tu t'enerve tu fais du mal qu'a toi ... **

*c'eszt bon laisse moi respirer je peux me debrouiller tout seul...*

Le mal de tête de Theo sembla aller en décroissant, en même temps que l’euphorie de Circée. A vrai dire, elle s’amusait bien. N’était-il pas parfaitement distrayant de voir souffrir ce pauvre garçon et de le marteler verbalement de phrases lourdes de sens ? Aux yeux de Circée, tout être bon ou généreux ne pouvait être considéré que comme un abruti ; mais, en même temps, elle savait que le monde ne pouvait tourner rond sans abrutis pour être esclaves et dominés par les génies. Depuis sa naissance, on avait dit de Circée qu’elle était un génie, parce qu’elle avait très rapidement commencé à montrer des signes de précocité ; et considérer un homme comme un génie avec une forte conviction le transforme obligatoirement en génie … Theo releva la tête vers Circée, l’air déterminé. Il tenta maladroitement de sourire, mais son regard lançait des éclairs ; et la demoiselle savait que son camarade brûlait de lui dire ses quatre vérités, ce qui la fit sourire de plus belle. Lorsqu’il lui fit part de sa pensée sur ce qu’était un génie et un abruti, Circée émit un rictus méprisant. Qui était donc ce jeune garçon pour exprimer de telles idées ? Lui-même avouait ne pas être un génie, alors que pouvait-il savoir sur les points qui différencient l’abruti banal au génie génial ? Finalement, la jeune fille commença à parler d’un ton froid et dur, et elle prononça ces mots avec tellement de force et de charisme qu’il aurait presque été difficile de ne pas la croire :

« - Le temps n'attend pas, la bonté est impuissante, la fortune inconstante et la méchanceté insatiable. Un humain de ta trempe ne peut pas parler de ce qu’il ne connaît pas, tout simplement parce qu’il n’a pas saisi le principe qui régit l’Univers : là où les faibles meurent, les forts écrasent les faibles pour assouvir leur soif de vie et de domination. Et l’Homme le plus faible est toujours le plus gentil … »

Telle était la vision des choses de Circée, toujours aussi fataliste et pessimiste dans ses idées. Car la jeune fille avait la conviction que l’homme bon ne l’était que par nécessité alors que l’homme mauvais l’était tout naturellement. De plus, persuadée de sa condition de génie, elle ne pouvait s’empêcher de mépriser faibles et abrutis.

Theo ruminait mais Sian faisait tout pour le calme. C’etait une sacrée bagarre dans sa tête. Il commencait a détester cette jeune fille. .Il aurait voulut l’injurier, mais pourquoi tant d’agressivite .

c’est votre vision des choses et je l’accepte, mais je pense que vous le mettre en pratique, mais je comprend que cela soit impossible car vous n’auriez plus rien a dire….

** Theo reste calme, rappelle toi tes lectures le génie amène à la sagesse et la sagesse c’est l’ ouverture, si tu vois la moindre lueur de génie dans cette peste tu me dis …**

Cette phrase eut pour effet de détendre Theo qui eut un petit sourire et ses traits du visage se décrispèrent un peu. Son sourire se fit plus franc comme si il reprenait un peu plus de confiance. Et il decida de ne pas repondre aux provocations en prenant un maximum sur lui. Sian était avec lui et elle avait souvent raison même si Theo avait du mal à l’avouer. Puis Theo se rappela une phrase d’un de ses livres sur les gens qu’on appelait les genie « Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on le peut reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui. »
Il se dit que cette jeune fille avait du lire le même livre lui et qu’elle voulait se mettre tout le monde a dos pour prouver qu’elle était un génie. Ce qui finit par le detendre complètement.
Il lui fit un grand sourire

- Vous avez raison chère génie, je suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je battrais jusu’au bout pour que vous puissiez le dire …

**continue Theo tu es sur le bon chemin reste calme **

Mais dans la tête de Theo tout était encore fragile mais il était content de sa reaction.